OEC PROJETS

Portons notre regard vers 2020… pour construire l’école de demain

En 2009, la fusion des lycées OZANAM et EPIL a été une étape importante

Avec le Conseil d’Administration, le but était de mutualiser et d’optimiser les structures en faisant évoluer notre organisation globale avec à sa tête un directeur général entouré de directeurs de sites, véritables courroies de transmission vers les équipes pédagogiques et personnels (cf. organigramme joint).

Cette fusion a été un changement culturel mais aussi un véritable changement de paradigme

L’un des grands enjeux d’avenir était de bâtir et structurer un groupe pour faire face avec réalisme, professionnalisme et confiance aux évolutions et réformes du monde éducatif.

Aujourd’hui, nous sommes sur le bon chemin et nous commençons à voir les fruits de notre travail, avec des sites qui se nourrissent l’un de l’autre et des collaborations visibles qui se développent (dynamique des mini-entreprises, échanges internationaux, accueil des Bac Pro en BTS, passerelles EPIL vers OZANAM avec la 2de globale et l’inverse avec la 2de GT……).

Nos projets

Le Groupe OEC est un groupe dynamique, qui propose des projets novateurs et porteurs de sens dans un monde sans cesse en mouvement.

La labellisation des métiers

L’un des points forts de la fusion est notre labellisation lycée des métiers de la construction, de l’environnement et des énergies. C’est un très beau résultat collectif mérité et une belle reconnaissance institutionnelle.

Cette labellisation entre pleinement dans la logique des contrats d’objectifs de la région. Véritable colonne vertébrale de notre offre de formation, elle doit faire progresser de manière évidente le groupe et tous ses acteurs.

Le recteur et le conseil régional ont l’intention de créer une carte d’implantation des lycées des métiers. Avec cette labellisation obtenue, nous avons de bonnes fondations. Nous nous inscrivons bien dans cette dynamique.

L’enseignement supérieur

L’un des axes prioritaires de la politique académique est de favoriser l’intégration des BAC PRO en BTS et de faciliter l’ouverture de BTS en LP. Ces deux priorités ont été, régulièrement, rappelées lors de l’audit de labellisation lycée des métiers. C’est un enjeu majeur pour notre groupe. Nous devons mettre en place une organisation pérenne qui permette de mieux accueillir, encore, les bacheliers professionnels avec le but affiché de les mener vers la réussite. Cette réflexion a bien souvent été partagée en conseil d’établissement, journées pédagogiques, conseils de direction. Aujourd’hui, nous devons aller plus loin et anticiper pédagogiquement. Pour cela, nous devons nécessairement faire évoluer notre organisation pédagogique et l’adapter face à ces nouvelles exigences. Nous devons innover, expérimenter et être pionniers dans notre appropriation de cette problématique.

Le lien école/entreprises et les mini-entreprises

Le cœur de notre mission de formation est de participer à la construction humaine des jeunes confiés par les familles qui nous font confiance.

Pour y parvenir, nous nous appuyons sur l’incontournable passerelle, « Ecole – Entreprise » ou encore sur l’ouverture à l’international, qui favorisent positivement l’immersion en milieu professionnel et impulsent la nécessaire culture d’activité ainsi que la mobilité chez nos jeunes. Promouvoir l’esprit entrepreneurial ainsi que l’envie d’entreprendre chez nos jeunes fait partie intégrante de notre mission.

La dynamique des mini-entreprises contribue à développer chez nos élèves les compétences professionnelles qui correspondent aux besoins de l’entreprise. Les mini-entreprises réinventent le regard sur l’entreprise. Elles jouent un rôle primordial dans la construction personnelle et humaine de nos élèves. Elles stimulent la coopération, suscitent les échanges, inspirent aux jeunes une confiance en eux et donnent toute sa place à l’initiative et à la responsabilité de chacun.

Elles laissent place aux compétences sociales à côté des compétences cognitives. Des élèves qui ont la culture du travail en groupe favoriseront davantage la concertation et la coopération dans leur vie professionnelle. La participation à différents concours est pour nos élèves un laboratoire qui impulse la co-construction et l’esprit d’équipe. Cet investissement dans des activités concrètes permet, à nos jeunes, de raisonner autrement. Le travail horizontal impulsé dans tous ces projets porteurs donne toute sa place à l’initiative et à la responsabilité : des attitudes attendues dans la vie professionnelle.

En savoir plus : Retour sur les projets Mini-Entreprises 2020/2021

Un comportement ouvert au travail en équipe, un esprit de créativité et d’initiative, le souci de qualité sans omettre les qualités individuelles (savoir, savoir-faire, savoir-être, savoir-devenir) sont les principaux profils recherchés par les entreprises. Nos formations favorisent le travail en équipe attendu dans un esprit de saine collaboration où chacun se sent bien à sa place.

Dans le contexte de changement technique rapide, la relation école / entreprise est nécessaire pour adapter nos jeunes aux exigences de la Troisième Révolution Industrielle (TRI).

La 3ème Révolution Industrielle (TRI)

La Région s’est résolument engagée avec de nombreux acteurs publics et privés dans une démarche de TRI fondée sur le couplage d’internet et des énergies renouvelables. La Troisième Révolution Industrielle est un levier pour notre groupe. Nous devons, avec nos formations (FI – FC – FA) et à notre niveau y participer. La feuille de route opérationnelle de la TRI insiste, parmi les conditions de réussite, sur le développement des connaissances et les formations tout au long de la vie. La TRI permet d’avancer, c’est un changement de modèle économique et un nouveau mode de collaboration que l’on met en place. C’est un changement de posture qui privilégie le travail collaboratif. La TRI c’est créer du lien, former des communautés d’établissements, développer des laboratoires d’idées, mutualiser, travailler en réseau, pour générer des économies.

La TRI est une vraie finalité, c’est l’explosion de l’intelligence collective. L’initiative vient du terrain.

Dans notre domaine de l’éducation, nous nous situons dans ce changement d’état. La TRI c’est comme en pédagogie, c’est adapter les énergies en fonction des besoins et non l’inverse. L’emploi est en croissance dans les secteurs de l’énergie renouvelable. Les secteurs du bâtiment sont en train de s’allier aux entreprises de l’énergie renouvelable pour convertir les immeubles en mini-centrales électriques. Les « Regards croisés sur l’économie, la formation, les territoires » irriguent les propositions d’évolutions de la carte des formations de notre région pour les prochaines rentrées.

La problématique de l’orientation

La problématique de l’orientation se trouve au centre des préoccupations, nous devons nous soucier des parcours des élèves (vers des parcours valorisants, mieux orienter sur les compétences professionnelles….).

Les filières d’enseignement général sont toujours privilégiées au détriment de l’enseignement professionnel par les parents et les élèves. Cette tendance marque le pas depuis de nombreuses années. L’évolution qui généralise l’entrée en 2de GT n’est pas fatale et dépend aussi du lien collège – lycée et de notre capacité d’innovation pour apporter des réponses concrètes en matière d’orientation, de réussite scolaire et d’insertion professionnelle. Face aux évolutions technologiques, il y a de moins en moins de place pour les gens peu formés. Nous avons l’avantage d’être autonomes dans notre pédagogie et soudés dans un projet collectif.

« L’esprit de Pâques est que rien n’est jamais perdu, nul n’est condamné, c’est une parole d’espérance. Un passage vers une vie nouvelle ».

Portons notre regard vers 2020… pour construire l’école de demain

En 2009, la fusion des lycées OZANAM et EPIL a été une étape importante

Avec le Conseil d’Administration, le but était de mutualiser et d’optimiser les structures en faisant évoluer notre organisation globale avec à sa tête un directeur général entouré de directeurs de sites, véritables courroies de transmission vers les équipes pédagogiques et personnels (cf. organigramme joint).

Cette fusion a été un changement culturel mais aussi un véritable changement de paradigme

L’un des grands enjeux d’avenir était de bâtir et structurer un groupe pour faire face avec réalisme, professionnalisme et confiance aux évolutions et réformes du monde éducatif.

Aujourd’hui, nous sommes sur le bon chemin et nous commençons à voir les fruits de notre travail, avec des sites qui se nourrissent l’un de l’autre et des collaborations visibles qui se développent (dynamique des mini-entreprises, échanges internationaux, accueil des Bac Pro en BTS, passerelles EPIL vers OZANAM avec la 2de globale et l’inverse avec la 2de GT……).

Nos projets

Le Groupe OEC est un groupe dynamique, qui propose des projets novateurs et porteurs de sens dans un monde sans cesse en mouvement.

La labellisation des métiers

L’un des points forts de la fusion est notre labellisation lycée des métiers de la construction, de l’environnement et des énergies. C’est un très beau résultat collectif mérité et une belle reconnaissance institutionnelle.

Cette labellisation entre pleinement dans la logique des contrats d’objectifs de la région. Véritable colonne vertébrale de notre offre de formation, elle doit faire progresser de manière évidente le groupe et tous ses acteurs.

Le recteur et le conseil régional ont l’intention de créer une carte d’implantation des lycées des métiers. Avec cette labellisation obtenue, nous avons de bonnes fondations. Nous nous inscrivons bien dans cette dynamique.

L’enseignement supérieur

L’un des axes prioritaires de la politique académique est de favoriser l’intégration des BAC PRO en BTS et de faciliter l’ouverture de BTS en LP. Ces deux priorités ont été, régulièrement, rappelées lors de l’audit de labellisation lycée des métiers. C’est un enjeu majeur pour notre groupe. Nous devons mettre en place une organisation pérenne qui permette de mieux accueillir, encore, les bacheliers professionnels avec le but affiché de les mener vers la réussite. Cette réflexion a bien souvent été partagée en conseil d’établissement, journées pédagogiques, conseils de direction. Aujourd’hui, nous devons aller plus loin et anticiper pédagogiquement. Pour cela, nous devons nécessairement faire évoluer notre organisation pédagogique et l’adapter face à ces nouvelles exigences. Nous devons innover, expérimenter et être pionniers dans notre appropriation de cette problématique.

Le lien école/entreprises et les mini-entreprises

Le cœur de notre mission de formation est de participer à la construction humaine des jeunes confiés par les familles qui nous font confiance.

Pour y parvenir, nous nous appuyons sur l’incontournable passerelle, « Ecole – Entreprise » ou encore sur l’ouverture à l’international, qui favorisent positivement l’immersion en milieu professionnel et impulsent la nécessaire culture d’activité ainsi que la mobilité chez nos jeunes. Promouvoir l’esprit entrepreneurial ainsi que l’envie d’entreprendre chez nos jeunes fait partie intégrante de notre mission.

La dynamique des mini-entreprises contribue à développer chez nos élèves les compétences professionnelles qui correspondent aux besoins de l’entreprise. Les mini-entreprises réinventent le regard sur l’entreprise. Elles jouent un rôle primordial dans la construction personnelle et humaine de nos élèves. Elles stimulent la coopération, suscitent les échanges, inspirent aux jeunes une confiance en eux et donnent toute sa place à l’initiative et à la responsabilité de chacun.

Elles laissent place aux compétences sociales à côté des compétences cognitives. Des élèves qui ont la culture du travail en groupe favoriseront davantage la concertation et la coopération dans leur vie professionnelle. La participation à différents concours est pour nos élèves un laboratoire qui impulse la co-construction et l’esprit d’équipe. Cet investissement dans des activités concrètes permet, à nos jeunes, de raisonner autrement. Le travail horizontal impulsé dans tous ces projets porteurs donne toute sa place à l’initiative et à la responsabilité : des attitudes attendues dans la vie professionnelle.

En savoir plus : Retour sur les projets Mini-Entreprises 2020/2021

Un comportement ouvert au travail en équipe, un esprit de créativité et d’initiative, le souci de qualité sans omettre les qualités individuelles (savoir, savoir-faire, savoir-être, savoir-devenir) sont les principaux profils recherchés par les entreprises. Nos formations favorisent le travail en équipe attendu dans un esprit de saine collaboration où chacun se sent bien à sa place.

Dans le contexte de changement technique rapide, la relation école / entreprise est nécessaire pour adapter nos jeunes aux exigences de la Troisième Révolution Industrielle (TRI).

La 3ème Révolution Industrielle (TRI)

La Région s’est résolument engagée avec de nombreux acteurs publics et privés dans une démarche de TRI fondée sur le couplage d’internet et des énergies renouvelables. La Troisième Révolution Industrielle est un levier pour notre groupe. Nous devons, avec nos formations (FI – FC – FA) et à notre niveau y participer. La feuille de route opérationnelle de la TRI insiste, parmi les conditions de réussite, sur le développement des connaissances et les formations tout au long de la vie. La TRI permet d’avancer, c’est un changement de modèle économique et un nouveau mode de collaboration que l’on met en place. C’est un changement de posture qui privilégie le travail collaboratif. La TRI c’est créer du lien, former des communautés d’établissements, développer des laboratoires d’idées, mutualiser, travailler en réseau, pour générer des économies.

La TRI est une vraie finalité, c’est l’explosion de l’intelligence collective. L’initiative vient du terrain.

Dans notre domaine de l’éducation, nous nous situons dans ce changement d’état. La TRI c’est comme en pédagogie, c’est adapter les énergies en fonction des besoins et non l’inverse. L’emploi est en croissance dans les secteurs de l’énergie renouvelable. Les secteurs du bâtiment sont en train de s’allier aux entreprises de l’énergie renouvelable pour convertir les immeubles en mini-centrales électriques. Les « Regards croisés sur l’économie, la formation, les territoires » irriguent les propositions d’évolutions de la carte des formations de notre région pour les prochaines rentrées.

La problématique de l’orientation

La problématique de l’orientation se trouve au centre des préoccupations, nous devons nous soucier des parcours des élèves (vers des parcours valorisants, mieux orienter sur les compétences professionnelles….).

Les filières d’enseignement général sont toujours privilégiées au détriment de l’enseignement professionnel par les parents et les élèves. Cette tendance marque le pas depuis de nombreuses années. L’évolution qui généralise l’entrée en 2de GT n’est pas fatale et dépend aussi du lien collège – lycée et de notre capacité d’innovation pour apporter des réponses concrètes en matière d’orientation, de réussite scolaire et d’insertion professionnelle. Face aux évolutions technologiques, il y a de moins en moins de place pour les gens peu formés. Nous avons l’avantage d’être autonomes dans notre pédagogie et soudés dans un projet collectif.

« L’esprit de Pâques est que rien n’est jamais perdu, nul n’est condamné, c’est une parole d’espérance. Un passage vers une vie nouvelle ».

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