Vendredi 12 avril 2024, a eu lieu au sein de la salle de la Mauricienne du lycée Ozanam une représentation théâtrale faite par les élèves de la 2e67. Ce spectacle constituait l’aboutissement du projet PEPS, « Parcours d’Éducation, de Pratique et de Sensibilisation à la culture », mené en partenariat avec l’association « La clef des chants ». Aux commandes, Sandrine CORNILLE professeur de français et Bertrand VANDERBEKEN, professeur documentaliste au lycée Ozanam.
Il est 11H00, ce sont les dernières mises au point avant le grand final. Isabelle MONNIER-ESQUIS, metteur en scène, prodigue aux élèves ses derniers conseils. Ils sont stressés. Ça se voit qu’ils ont tous envie de bien faire. Sous le coup du stress, ils courent d’un bout à l’autre de la salle. Certains sont tellement nerveux qu’ils en oublient leurs scripts. D’autres en sont même venus à oublier les réflexes à avoir lorsqu’on se tient sur scène.
« Silence dans la salle ! »
Le stress est à son comble. Il est 11h33 lorsque les portes de la Mauricienne s’ouvrent pour accueillir les élèves du lycée venus voir le spectacle de leurs camarades. Le spectacle débute enfin. Entre l’étrange disparition du maire de la ville de Monopolis, le meurtre d’une femme infidèle et le boucher vendeur de chair humaine, les élèves de la 2e 67 ont su parfaitement captiver l’attention de leur public.
De véritables artistes en herbe
Les enseignants et les parents des élèves de la 2e67 ont de quoi être fiers de ces derniers. Ils ont pu en l’espace de sept semaines seulement, mettre au point une représentation théâtrale. Nous avons demandé à Isabelle MONNIER-ESQUIS son avis concernant le travail de ses élèves, elle nous a répondu que « pour le temps imparti, ils ont fait leur possible, et ils l’ont fait avec le cœur et c’est ça qui compte ».
« Aucun d’entre eux n’a fait ni théâtre ni chant auparavant » nous a confié le chanteur Denis MIGNIEN, qui a eu la chance de les encadrer tout au long de cette aventure. C’était donc une première pour eux. Malgré cela, ils sont parvenus à nous présenter quelque chose de très bien, et à encourager pour leur jeune âge.
Une fois le spectacle terminé, Denis et Isabelle ont demandé à leurs artistes en herbe de leur faire part de leurs impressions. La plupart d’entre eux était plutôt satisfait du travail accompli. Une d’entre eux a parlé du fait qu’elle « n’avait pas l’habitude de faire quelque chose comme ça », et que cette expérience lui avait permis « de sortir de zone de confort ». Ils se sont tous accordés à dire qu’ils ont vécu une expérience sympathique et hors du commun.
Merci encore à tous pour cette belle prestation !
Vendredi 12 avril 2024, a eu lieu au sein de la salle de la Mauricienne du lycée Ozanam une représentation théâtrale faite par les élèves de la 2e67. Ce spectacle constituait l’aboutissement du projet PEPS, « Parcours d’Éducation, de Pratique et de Sensibilisation à la culture », mené en partenariat avec l’association « La clef des chants ». Aux commandes, Sandrine CORNILLE professeur de français et Bertrand VANDERBEKEN, professeur documentaliste au lycée Ozanam.
Il est 11H00, ce sont les dernières mises au point avant le grand final. Isabelle MONNIER-ESQUIS, metteur en scène, prodigue aux élèves ses derniers conseils. Ils sont stressés. Ça se voit qu’ils ont tous envie de bien faire. Sous le coup du stress, ils courent d’un bout à l’autre de la salle. Certains sont tellement nerveux qu’ils en oublient leurs scripts. D’autres en sont même venus à oublier les réflexes à avoir lorsqu’on se tient sur scène.
« Silence dans la salle ! »
Le stress est à son comble. Il est 11h33 lorsque les portes de la Mauricienne s’ouvrent pour accueillir les élèves du lycée venus voir le spectacle de leurs camarades. Le spectacle débute enfin. Entre l’étrange disparition du maire de la ville de Monopolis, le meurtre d’une femme infidèle et le boucher vendeur de chair humaine, les élèves de la 2e 67 ont su parfaitement captiver l’attention de leur public.
De véritables artistes en herbe
Les enseignants et les parents des élèves de la 2e67 ont de quoi être fiers de ces derniers. Ils ont pu en l’espace de sept semaines seulement, mettre au point une représentation théâtrale. Nous avons demandé à Isabelle MONNIER-ESQUIS son avis concernant le travail de ses élèves, elle nous a répondu que « pour le temps imparti, ils ont fait leur possible, et ils l’ont fait avec le cœur et c’est ça qui compte ».
« Aucun d’entre eux n’a fait ni théâtre ni chant auparavant » nous a confié le chanteur Denis MIGNIEN, qui a eu la chance de les encadrer tout au long de cette aventure. C’était donc une première pour eux. Malgré cela, ils sont parvenus à nous présenter quelque chose de très bien, et à encourager pour leur jeune âge.
Une fois le spectacle terminé, Denis et Isabelle ont demandé à leurs artistes en herbe de leur faire part de leurs impressions. La plupart d’entre eux était plutôt satisfait du travail accompli. Une d’entre eux a parlé du fait qu’elle « n’avait pas l’habitude de faire quelque chose comme ça », et que cette expérience lui avait permis « de sortir de zone de confort ». Ils se sont tous accordés à dire qu’ils ont vécu une expérience sympathique et hors du commun.
