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Ca n’est pas une reprise puisque nous ne nous sommes pas arrêtés

Partout, dans les médias, autour de nous, nous entendons parler de reprise. Mais de quelle reprise parle-t-on exactement ?

La reprise de l’école ?
La reprise du travail ?
La reprise de la vie sociale ?

L’école ne s’est pourtant pas arrêtée une minute. La continuité pédagogique tellement vantée l’a prouvé.

Le travail s’est poursuivi pour bon nombre d’entre nous en télétravail. Ce mot semble encore souvent poser problème, certains n’y entendant peut-être que télé…

La vie sociale a perduré. Les apéritifs entre amis et en famille n’ont jamais été si nombreux.

Bien entendu, l’école, le travail, la vie sociale, se sont vécus bien différemment d’avant. Autrement. Une nouvelle école, un nouveau travail, une nouvelle vie sociale ont vu le jour. Et si nous choisissions de voir cela comme un commencement plutôt que comme une fin ?

L’histoire d’un co-vide
Chacun de nous a développé de nouvelles compétences. Nous avons co-construit nos façons de travailler. Nous avons collaboré à distance, co-organisé la continuité, co-animé des réunions. Nous avons co-enseigné à nos enfants avec l’aide des équipes éducatives.

Nous avons finalement continuer à co-exister dans nos co-vides collectifs respectifs.

Chercher l’essence – les sens
Cet éloignement et cette solitude, tous relatifs, nous ont poussé à l’introspection.

« Où vais-je ? Où suis-je ? Dans quel état j’erre ? »

Et moi, que puis-je faire de là où je suis ? Plus trop d’histoires à me raconter, plus de petit doigt derrière lequel me cacher. Sur quoi j’ai la main ? Qu’est-ce que je peux faire de tout ça ici et maintenant ?

Nous sommes ainsi nombreux à chercher les sens -l’essence de nos existences.

Nouvel air – ère
Et cela nous amène forcément à nous questionner sur l’après.

Que vais-je garder de cette période ? Que m’a-t-elle appris ?
Car soyons honnêtes, ce confinement tant redouté n’a pas apporté que son lot de points négatifs. Dimanche 10 Mai, veille de la nouvelle libération, les articles et commentaires indiquant que finalement, « il n’était pas si mal ce confinement », ont commencé à pleuvoir. A leur lecture, nous pouvions ressentir une certaine nostalgie.

En réalité, nous ne sommes pas nostalgiques du confinement. Nous sommes nostalgiques des présents qu’il nous a fait et que nous avons peur de voir disparaître avec lui.

Voilà le plus précieux des cadeaux apportés dans cette période sans doute : le présent justement.

Alors, que vais-je choisir de garder pour mon nouvel air – nouvelle ère ?

Et si nous choisissions de prendre part, de prendre une part et de donner une part…

Visio-vision

Nous avons développé de nouvelles méthodes, de nouveaux process, nous avons utilisé de nouveaux outils et nous devons désormais choisir ce que nous conservons.

Nous devons partager à nos équipes, à nos collaborateurs, à tous nos partenaires, notre vision et notre volonté.

La vision par visio ou la visio comme vision pour éviter les hallucinations.

Pas de retour à l’anormal
Alors quel chemin prendrons-nous désormais ? Déciderons-nous de considérer tous les flancs de la montagne ? Le nôtre, le vôtre et les leurs ?

Ainsi nous pourrions considérer que la normalité/ l’anormalité n’est que subjectivité.

RAS, un credo pour demain : Réactivité Adaptabilité Souplesse / Respect Acceptation Sincérité

Ainsi, voici à quoi pourrait ressembler le futur centre de formation OEC PRO :
Un lieu physique et virtuel
Pas forcément conventionnel
Où chacun peut déployer ses ailes
En présentiel comme en distanciel
Des apprentissages expérientiels
Des responsabilités collectives et individuelles
Vers un partage de l’essentiel
Chacun ancré dans son réel

Anaïs PIRES 
Directrice OEC Pro

Ca n’est pas une reprise puisque nous ne nous sommes pas arrêtés

Partout, dans les médias, autour de nous, nous entendons parler de reprise. Mais de quelle reprise parle-t-on exactement ?

La reprise de l’école ?
La reprise du travail ?
La reprise de la vie sociale ?

L’école ne s’est pourtant pas arrêtée une minute. La continuité pédagogique tellement vantée l’a prouvé.

Le travail s’est poursuivi pour bon nombre d’entre nous en télétravail. Ce mot semble encore souvent poser problème, certains n’y entendant peut-être que télé…

La vie sociale a perduré. Les apéritifs entre amis et en famille n’ont jamais été si nombreux.

Bien entendu, l’école, le travail, la vie sociale, se sont vécus bien différemment d’avant. Autrement. Une nouvelle école, un nouveau travail, une nouvelle vie sociale ont vu le jour. Et si nous choisissions de voir cela comme un commencement plutôt que comme une fin ?

L’histoire d’un co-vide
Chacun de nous a développé de nouvelles compétences. Nous avons co-construit nos façons de travailler. Nous avons collaboré à distance, co-organisé la continuité, co-animé des réunions. Nous avons co-enseigné à nos enfants avec l’aide des équipes éducatives.

Nous avons finalement continuer à co-exister dans nos co-vides collectifs respectifs.

Chercher l’essence – les sens
Cet éloignement et cette solitude, tous relatifs, nous ont poussé à l’introspection.

« Où vais-je ? Où suis-je ? Dans quel état j’erre ? »

Et moi, que puis-je faire de là où je suis ? Plus trop d’histoires à me raconter, plus de petit doigt derrière lequel me cacher. Sur quoi j’ai la main ? Qu’est-ce que je peux faire de tout ça ici et maintenant ?

Nous sommes ainsi nombreux à chercher les sens -l’essence de nos existences.

Nouvel air – ère
Et cela nous amène forcément à nous questionner sur l’après.

Que vais-je garder de cette période ? Que m’a-t-elle appris ?
Car soyons honnêtes, ce confinement tant redouté n’a pas apporté que son lot de points négatifs. Dimanche 10 Mai, veille de la nouvelle libération, les articles et commentaires indiquant que finalement, « il n’était pas si mal ce confinement », ont commencé à pleuvoir. A leur lecture, nous pouvions ressentir une certaine nostalgie.

En réalité, nous ne sommes pas nostalgiques du confinement. Nous sommes nostalgiques des présents qu’il nous a fait et que nous avons peur de voir disparaître avec lui.

Voilà le plus précieux des cadeaux apportés dans cette période sans doute : le présent justement.

Alors, que vais-je choisir de garder pour mon nouvel air – nouvelle ère ?

Et si nous choisissions de prendre part, de prendre une part et de donner une part…

Visio-vision

Nous avons développé de nouvelles méthodes, de nouveaux process, nous avons utilisé de nouveaux outils et nous devons désormais choisir ce que nous conservons.

Nous devons partager à nos équipes, à nos collaborateurs, à tous nos partenaires, notre vision et notre volonté.

La vision par visio ou la visio comme vision pour éviter les hallucinations.

Pas de retour à l’anormal
Alors quel chemin prendrons-nous désormais ? Déciderons-nous de considérer tous les flancs de la montagne ? Le nôtre, le vôtre et les leurs ?

Ainsi nous pourrions considérer que la normalité/ l’anormalité n’est que subjectivité.

RAS, un credo pour demain : Réactivité Adaptabilité Souplesse / Respect Acceptation Sincérité

Ainsi, voici à quoi pourrait ressembler le futur centre de formation OEC PRO :
Un lieu physique et virtuel
Pas forcément conventionnel
Où chacun peut déployer ses ailes
En présentiel comme en distanciel
Des apprentissages expérientiels
Des responsabilités collectives et individuelles
Vers un partage de l’essentiel
Chacun ancré dans son réel

Anaïs PIRES 
Directrice OEC Pro

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