Le travail comme vecteur d’inclusion

Rencontre avec M. Jean-Marc Richard, Président de la Fondation AMIPI Bernard VENDRE 

Jeudi 1er juin, les étudiants de première année en CPGE Ozanam ICAM ont eu la chance d’accueillir Jean-Marc Richard, venu leur parler du travail comme vecteur d’inclusion. Cette Fondation œuvre pour l’insertion professionnelle de personnes en situation de handicaps cognitifs ou mentaux dans six usines de France. Les employés montent des câbles électriques vendus ensuite à de grands groupes automobiles comme Renault. Loin de l’image d’un travail opérateur répétitif et monotone à la Charlie Chaplin, ce type de travail, au sein d’une équipe bienveillante, permet aux employés de grandir et même de guérir grâce à une succession d’apprentissages et non une succession de tâches. S’appuyant sur les recherches du Professeur Oughourlian, neuropsychiatre, spécialisé dans la psychologie mimétique, Jean-Marc Richard a montré combien apprendre des autres était salutaire. Pour preuve, un tiers des salariés de l’AMIPI sont ensuite réinsérés dans un « milieu classique ».

 Cette rencontre a été l’occasion pour les étudiants de première année de réfléchir à ce qui fait sens et société dans le travail, thème par ailleurs au programme de leurs cours de français-philosophie en CPGE. À la suite de S. Weil dans La Condition ouvrière, ils se sont posé la question des intérêts de la production en milieu industriel et des solutions à imaginer pour un travail « non servile » fait de la relation à l’autre. De quoi les initier à la RSE, responsabilité sociétale des entreprises, thématique qu’ils approfondiront en cycle école.

 

La qualité des échanges après la conférence a révélé une grande mobilisation des jeunes face à ces enjeux.

Signe prometteur de leur engagement pour demain !

Rencontre avec M. Jean-Marc Richard, Président de la Fondation AMIPI Bernard VENDRE 

Jeudi 1er juin, les étudiants de première année en CPGE Ozanam ICAM ont eu la chance d’accueillir Jean-Marc Richard, venu leur parler du travail comme vecteur d’inclusion. Cette Fondation œuvre pour l’insertion professionnelle de personnes en situation de handicaps cognitifs ou mentaux dans six usines de France. Les employés montent des câbles électriques vendus ensuite à de grands groupes automobiles comme Renault. Loin de l’image d’un travail opérateur répétitif et monotone à la Charlie Chaplin, ce type de travail, au sein d’une équipe bienveillante, permet aux employés de grandir et même de guérir grâce à une succession d’apprentissages et non une succession de tâches. S’appuyant sur les recherches du Professeur Oughourlian, neuropsychiatre, spécialisé dans la psychologie mimétique, Jean-Marc Richard a montré combien apprendre des autres était salutaire. Pour preuve, un tiers des salariés de l’AMIPI sont ensuite réinsérés dans un « milieu classique ».

 Cette rencontre a été l’occasion pour les étudiants de première année de réfléchir à ce qui fait sens et société dans le travail, thème par ailleurs au programme de leurs cours de français-philosophie en CPGE. À la suite de S. Weil dans La Condition ouvrière, ils se sont posé la question des intérêts de la production en milieu industriel et des solutions à imaginer pour un travail « non servile » fait de la relation à l’autre. De quoi les initier à la RSE, responsabilité sociétale des entreprises, thématique qu’ils approfondiront en cycle école.

 

La qualité des échanges après la conférence a révélé une grande mobilisation des jeunes face à ces enjeux.

Signe prometteur de leur engagement pour demain !

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