La vie sur le site OEC PRO

Voilà que la 3ème semaine de confinement se termine.

Dans l’article de la semaine dernière nous avons abordé un point essentiel à cette période : la résilience.

Allons un peu plus loin aujourd’hui sur ce concept.

Wikipédia le définit comme cela : La résilience est un phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l’événement traumatique de manière à ne pas, ou plus, vivre dans le malheur et à se reconstruire d’une façon socialement acceptable.

Mais encore…
Boris Cyrulnik, neuropsychiatre qui a largement contribué à démocratiser cette notion, nous parle d’individus vivant un traumatisme et refusant un rôle de victime passive, qui transforment leur souffrance en rage de vivre.

Autrement dit, la résilience repose d’abord sur le fait d’accepter les faits. Prendre conscience de ce qui est en train de se passer et choisir d’en tirer des leçons.

Ensuite, compte tenu de l’analyse faite précédemment, l’individu choisit d’être acteur. Que vais-je apprendre de ce que je vis actuellement ?

Car si en effet je ne peux rien changer au drame qui se déroule, je peux toujours choisir la manière dont je vais le vivre et ce que je vais en faire.

Pour moi, pour l’autre, pour le monde.
Pour l’humain, pour la société, pour l’économie.

C’est donc la capacité à vivre, à réussir et à se développer en dépit de l’adversité.

Les processus qui permettent de reprendre son développement après un coup du sort nous concernent tous, car ils obligent à penser la vie en termes de devenir, d’évolution.

Notre actualité nous plonge au cœur de concept.
Accepter la situation actuelle et réfléchir à l’après, pour le construire.
Il va y avoir un conflit entre ceux qui voudront la continuité et ceux qui voudront changer.
Tout ceci est valable tant sur le plan humain que sur le plan économique.

Quelles sont mes habitudes de vie que je souhaite voir changer après cette crise ?
Mes motivations seront-elles toujours les mêmes ?
Mes moteurs vont-ils évoluer ?
Mon travail fera-t-il toujours sens pour moi ?
Mes valeurs profondes sont-elles respectées ?
Mon management est-il le bon ?
Nos pratiques professionnelles sont-elles interrogées, remises en question ?

Cette semaine notre centre de formation a poursuivi la continuité pédagogique et administrative.

Nous avons recruté de nouveaux stagiaires, autrement. Ce qui ne pouvait être fait qu’en face à face s’est fait par téléphone.

Nos réunions se sont faites en visioconférence. Toute le monde était présent, à l’heure. Personne n’a perdu de temps dans les transports ni n’a dû courir pour pouvoir être là.

Les cours ont été réalisés en distanciel. Un cours de 3h en classe complète normalement a été réalisé en 3 phases : 15 minutes en classe entière en visio, puis par petits groupes de 5 apprenants tous les quarts d’heure, puis à nouveau en classe entière pour la conclusion.

Certains enseignements laissent désormais la place au rythme personnel de chaque apprenant. Ainsi la consigne est donnée et le travail est à rendre au bout d’un temps défini. Dans cet intervalle, chacun travaillera quand il le souhaitera, quand ce sera le bon moment pour lui.

Nous vivons et créons aujourd’hui des modes de fonctionnements nouveaux.

Que voudrons-nous garder après ?
Que pourrons-nous adapter après ?
A quoi ressemblera notre travail ?
A quoi ressemblera notre centre de formation ?

Soyons résilients, tirons les leçons de ce qui arrive, faisons-en une force positive pour nous aider à construire demain.

Anaïs PIRES 
Directrice OEC PRO 

La résilience c’est fleurir dans une terre aride, c’est refleurir après un hiver long et rigoureux.

Autour de nous, il y a plein de résilients silencieux : ici, celui qui a survécu à une grave maladie, là, une autre qui a repris sa Vie en mains après avoir vécu un traumatisme effroyable.

Un être résilient, c’est quelqu’un qui ne s’est pas laissé abattre par les épreuves mais qui, grâce à elles, est devenu plus fort.

C’est un combattant courageux qui se tient debout alors que bien d’autres auraient fini par baisser les bras.

C’est un enfant maltraité qui devient un adulte droit et compatissant à la douleur des autres.

C’est quelqu’un a qui on a dit de se taire toute sa Vie et qui finit par prendre la parole. Sa parole.

C’est un enfant du divorce et des conflits qui persiste à croire à l’amour et au couple.

C’est l’oiseau à l’aile amochée qui réapprend à voler.

Quelque part, nous sommes tous des résilients, nous avons tous survécu à nos propres guerres.

Souvenons-nous en lorsque nous rencontrons une autre épreuve. Nous sommes capable de survivre, nous l’avons déjà fait!

                                                                                         Diane Gagnon

Voilà que la 3ème semaine de confinement se termine.

Dans l’article de la semaine dernière nous avons abordé un point essentiel à cette période : la résilience.

Allons un peu plus loin aujourd’hui sur ce concept.

Wikipédia le définit comme cela : La résilience est un phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l’événement traumatique de manière à ne pas, ou plus, vivre dans le malheur et à se reconstruire d’une façon socialement acceptable.

Mais encore…
Boris Cyrulnik, neuropsychiatre qui a largement contribué à démocratiser cette notion, nous parle d’individus vivant un traumatisme et refusant un rôle de victime passive, qui transforment leur souffrance en rage de vivre.

Autrement dit, la résilience repose d’abord sur le fait d’accepter les faits. Prendre conscience de ce qui est en train de se passer et choisir d’en tirer des leçons.

Ensuite, compte tenu de l’analyse faite précédemment, l’individu choisit d’être acteur. Que vais-je apprendre de ce que je vis actuellement ?

Car si en effet je ne peux rien changer au drame qui se déroule, je peux toujours choisir la manière dont je vais le vivre et ce que je vais en faire.

Pour moi, pour l’autre, pour le monde.
Pour l’humain, pour la société, pour l’économie.

C’est donc la capacité à vivre, à réussir et à se développer en dépit de l’adversité.

Les processus qui permettent de reprendre son développement après un coup du sort nous concernent tous, car ils obligent à penser la vie en termes de devenir, d’évolution.

Notre actualité nous plonge au cœur de concept.
Accepter la situation actuelle et réfléchir à l’après, pour le construire.
Il va y avoir un conflit entre ceux qui voudront la continuité et ceux qui voudront changer.
Tout ceci est valable tant sur le plan humain que sur le plan économique.

Quelles sont mes habitudes de vie que je souhaite voir changer après cette crise ?
Mes motivations seront-elles toujours les mêmes ?
Mes moteurs vont-ils évoluer ?
Mon travail fera-t-il toujours sens pour moi ?
Mes valeurs profondes sont-elles respectées ?
Mon management est-il le bon ?
Nos pratiques professionnelles sont-elles interrogées, remises en question ?

Cette semaine notre centre de formation a poursuivi la continuité pédagogique et administrative.

Nous avons recruté de nouveaux stagiaires, autrement. Ce qui ne pouvait être fait qu’en face à face s’est fait par téléphone.

Nos réunions se sont faites en visioconférence. Toute le monde était présent, à l’heure. Personne n’a perdu de temps dans les transports ni n’a dû courir pour pouvoir être là.

Les cours ont été réalisés en distanciel. Un cours de 3h en classe complète normalement a été réalisé en 3 phases : 15 minutes en classe entière en visio, puis par petits groupes de 5 apprenants tous les quarts d’heure, puis à nouveau en classe entière pour la conclusion.

Certains enseignements laissent désormais la place au rythme personnel de chaque apprenant. Ainsi la consigne est donnée et le travail est à rendre au bout d’un temps défini. Dans cet intervalle, chacun travaillera quand il le souhaitera, quand ce sera le bon moment pour lui.

Nous vivons et créons aujourd’hui des modes de fonctionnements nouveaux.

Que voudrons-nous garder après ?
Que pourrons-nous adapter après ?
A quoi ressemblera notre travail ?
A quoi ressemblera notre centre de formation ?

Soyons résilients, tirons les leçons de ce qui arrive, faisons-en une force positive pour nous aider à construire demain.

Anaïs PIRES 
Directrice OEC PRO 

La résilience c’est fleurir dans une terre aride, c’est refleurir après un hiver long et rigoureux.

Autour de nous, il y a plein de résilients silencieux : ici, celui qui a survécu à une grave maladie, là, une autre qui a repris sa Vie en mains après avoir vécu un traumatisme effroyable.

Un être résilient, c’est quelqu’un qui ne s’est pas laissé abattre par les épreuves mais qui, grâce à elles, est devenu plus fort.

C’est un combattant courageux qui se tient debout alors que bien d’autres auraient fini par baisser les bras.

C’est un enfant maltraité qui devient un adulte droit et compatissant à la douleur des autres.

C’est quelqu’un a qui on a dit de se taire toute sa Vie et qui finit par prendre la parole. Sa parole.

C’est un enfant du divorce et des conflits qui persiste à croire à l’amour et au couple.

C’est l’oiseau à l’aile amochée qui réapprend à voler.

Quelque part, nous sommes tous des résilients, nous avons tous survécu à nos propres guerres.

Souvenons-nous en lorsque nous rencontrons une autre épreuve. Nous sommes capable de survivre, nous l’avons déjà fait!

                                                                                         Diane Gagnon

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